Education > Amélioration des conditions de vie des étudiants : Le restaurant universitaire fait peau neuve

Amélioration des conditions de vie des étudiants : Le restaurant universitaire fait peau neuve
mercredi 21 janvier 2015, par
Avec une capacité d’accueil de 250 places, le restaurant universitaire « La main à la pâte » va offrir désormais le service de qualité sur la colline de Badalabougou. Le lancement officiel des travaux est intervenu mercredi, à la faculté des sciences économiques et de gestion de Bamako.
La direction générale du Centre national des œuvres universitaires (Cnou) a procédé mercredi 21 janvier 2015, au lancement des activités de la cantine universitaire de Badalabougou « La main à la pâte ». La main à la pâte est l’un des projets phares du centre et ayant pour objectif d’améliorer les conditions de vie des étudiants. La cantine universitaire de Badalabougou va combler les attentes des étudiants en matière de restauration.
Le directeur général du Cnou, Yéhia Haidara a indiqué que le projet s’ajoute ainsi à une grande liste d’initiatives déjà réalisées par le Cenou. « Après la réhabilitation des cantines scolaires de la FAST et de la FMPOS, le Cnou vient d’honorer un engagement pour l’amélioration des conditions de vie du monde universitaire au Mali. Ce joyau architectural est le fruit de la coopération Sino-malienne. La capacité d’accueil est de 250 places pour 250 F le plat. La main à la pâte répond aux normes d’un restaurant universitaire en raison de la qualité de l’infrastructure », a expliqué le directeur général, Yéhia Haidara.
Le coordinateur du comité AEEM, Aboubacar Camara a apprécié l’initiative à sa juste valeur. Selon lui, elle offre des solutions variées de restauration. « Cette restauration est adaptée aux besoins de ses usagers que sont les étudiants. La capacité d’accueil et le prix en sont la preuve », a affirmé le secrétaire général de l’Association des élèves et étudiants du Mali, Aboubacar Camara. Avant de dire que le projet est la preuve d’une bonne collaboration entre l’AEEM et la direction générale du Cnou.
Bréhima Sogoba