Le ministre de l’Education a procédé à l’ouverture de l’atelier de formation des membres des réseaux d’associations scolaires (APE-AME-CGS) sur la santé de la reproduction, la prévention sur le genre.

La formation vise à expliquer les modes de prévention de grossesse et de transmission du VIH-Sida. Il s’agit de dégager les causes et les conséquences des violences basées sur le genre.

Le représentant de l’Unesco a salué l’initiative de cet atelier de formation à l’intention des trois réseaux. Il a félicité le partenariat entre l’Unesco et le Département en charge de l’Education nationale. A cet effet, il a réitéré sa disponibilité pour le renforcement des capacités les membres des réseaux d’associations scolaires sur la santé publique. « Nous allons nous remettre ensemble pour créer un environnement sain et assurer que les enseignants soient équipés afin de faire face au Covid-19 », a-t-il précisé.

Cette opportunité offerte aux membres des réseaux d’associations scolaires permettra aux élèves d’apporter un message de sensibilisation à l’endroit de leurs parents dans le cadre de la santé, la prévention de grossesse, les modes de transmission du VIH-Sida et d’autres.

Le ministre de l’Education nationale, M^me Sidibé Dédeou Ousmane a remercié l’Unesco pour son appui constant.

Selon elle, il s’agit de contribuer progressivement afin que les enfants puissent accéder à la santé et d’orienter dans cette dynamique les membres de sa famille que les acteurs soient le premier choix. Elle a évoqué les différentes études menées dans le secteur éducatif, qui relèvent une faible maîtrise par les acteurs de leurs rôles et responsabilités dans certaines thématiques. Il s’agit de la santé de la reproduction, de la prévention des grossesses précoces et non désirées, du VIH-Sida entre autre.

M. Sangaré
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