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« Destins de femmes » : Le nouveau roman de Salimata Togora vient de paraître
mardi 1er décembre 2015, par
Salimata Togora, une des valeurs sûres de la littérature au Mali, dans une complicité avec les Editions la Sahélienne, vient de publier « Destins de femmes », un recueil de nouvelles. Le roman était au centre d’une cérémonie le 12 novembre 2015, au Centre Aoua Keita.
La présentation de « Destins de femmes » au Centre Aoua Keita, a mobilisé tout ce que Bamako compte de femmes leaders. Elles étaient pratiquement toutes présentes : Fatoumata Siré Diakité, Mme Traoré Oumou Traoré de la CAFO….A ces femmes leaders, il faut ajouter le petit monde du livre au Mali : les éditeurs et les organisateurs de manifestations littéraires.
Publié dans la collection 50 voix des Editions la Sahélienne, « Destins de Femmes » de Salimata Togora est un roman d’environ 100 pages. C’est un recueil de 3 nouvelles que sont : la coupable, une fille comme les autres et un passé cruel.
La 1re nouvelle intitulée « La coupable » parle d’une femme d’une cinquantaine d’année qui raconte les 20 ans de sa vie de couple en dents de scie. Elle y parle de la trahison de son conjoint et de son combat pour construire une nouvelle vie conjugale…
« Une fille comme les autres », titre de la 2e nouvelle, est un journal intime d’une adolescente.
Dans sa 3e nouvelle intitulée « Un passé cruel », Salimata Togora met en scène le destin tourmenté d’une communauté rurale où femmes et hommes vivent dans la précarité et les crispations.
Trois histoires merveilleuses dans un roman pour parler des « Destins de femmes », n’est rien d’autre que le condensé de « la mal vie d’une société malienne prise entre rêves brisés et destins tragiques », selon la maison d’édition.
En cette fin d’année, période de cadeaux, à 3 000 FCFA, vous pourrez offrir en lecture « Destins de femmes » de Salimata Togora à des proches.
Signalons que cette talentueuses écrivaine n’est pas à son premier coup d’éssai. Elle a déjà publié Chez la Sahélienne en 2011 : « Deny et Denistar suivi de Un 31 décembre ».
Assane Koné